© 1985 Tyern Mahé de Berdouaré.
Société Portugaise des Auteurs.
TYERN
MAHÉ de BERDOUARÉ
VIVRE TOUJOURS D'AMOUR ...
De là je m'en allai tout droit,
Mais plus au trot, dès cet endroit,
Prenant la Route Principale
Vers la Maison Épiscopale
Située à deux cents balais
De ce qui me sert de Palais.
Je pénétrai dans la Chapelle
Et mis un cierge à Sainte Adèle.
Puis je quittai vite ce lieu
En prenant congé de mon Dieu
Avec les marques ordinaires
D'adoration dans ma prière.
Enfin je parvins à la plage
Dite des Rouges Coquillages,
Parce que, lorsque le soleil
Se couche, elle a des tons vermeils.
Puis sous le grand soleil qui brille
J'allai dans le sens des aiguilles
Des montres qui en ont encore
Et m'acheminai vers un port.
Ma petite île en compte quatre,
Où les vagues viennent s'abattre,
Sans compter le Port aux Gentianes
Réservé aux aéroplanes.
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