Peut-être que mes mots … (poème à x...)
Peut-être que mes mots et ma façon de
faire
T’amènent à penser que ton corps
m’indiffère
Tandis que tu sens bien concernant ton
esprit
Qu’il aura toujours eu à mes yeux un
grand prix.
Je veux donc aujourd’hui éclairer ta
lanterne
Avant que mes drapeaux ne se mettent
en berne
Et te dire que loin de m’être en
aversion
Je ressens pour ton corps une grande
affection.
Si je n’en parlais pas, c’est que tu
étais prise
Et je ne voulais pas nuire à tes entreprises.
Et ceci tout au long des jours, des
mois, des ans.
À quoi bon en parler, c’est trop tard
maintenant.
J’aime beaucoup tes yeux, ton sourire,
ta bouche,
J’aime beaucoup tes mains, trop pour
que je les touche.
Comment expliques-tu que parmi des milliers
De visages jamais je ne t’ai
oublié ?
Voilà ce qu’il fallait dire, belle
Madame ;
Heureux l’homme qui te prend dans ses
bras, ô femme !
Si quelque chose un jour doit
m’éloigner de toi
Ce ne sera donc pas ton physique,
crois-moi.
fin
Tyern Mahé de Berdouaré
Tyern Mahé de Berdouaré
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